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Films
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Pacification en Algérie 1954-1962 (La) [15434]

2003 précisément | André GAZUT

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Film professionnel

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    • Genre
    • Documentaire
    • Durée
    • 02:00:00
    • Coloration
    • NB et Couleur
    • Format durée
    • LM - Long métrage
    • Format original
    • Bétacam SP
    • Son
    • Sonore
Documentaire en deux parties : La Pacification en Algérie 1954-1962 : Le choc de la photographie de tortures vues dans sa rédaction va bouleverser la vie d'André Gazut, jeune reporter-photographe. Incorporé comme infirmier dans les parachutistes, il déserte. Obsédé par la guerre d'Algérie qu'il s'est refusé de faire, il couvrira une quinzaine de conflits comme réalisateur.Partie 1 : Le Sale boulot.Où finit la soumission à l'autorité ? Où commence la responsabilité de l'individu ? Les questions posées interrogent chaque personne, chaque communauté confrontée à la violence. Le sale boulot, c'est ainsi qu'un sous-Lieutenant en Algérie définit sa guerre. A travers des témoignages d'appelés mais aussi de militants algériens, se construit une mémoire de cette guerre. La guerre d'Algérie s'inscrit à une période bien particulière de décolonisation peu après la 2ème guerre mondiale et la perte de l'Indochine. C'est aussi la tension de la guerre froide qui conduit l'armée à voir le communisme derrière le combat des Algériens. Le jeune appelé confronté à une guerre de guérilla et victime d'une propagande intense de l'action psychologique peut-il s'opposer à l'intolérable ?Partie 2 : La politique du mensongeUn ancien d'Algérie rappelé, puis aumônier militaire, se veut clair : "Les politiques en France portent une responsabilité première, majeure, pour ne pas dire absolue" et il précise : "L'Algérien n'est pas un citoyen français et est un sous-produit d'humanité. Ce n'est pas à l'honneur de la France."Les atrocités de la guerre d'Algérie sont connues. Les dénoncer, c'est salir l'armée et la France. Des pressions sont faites pour empêcher que les appelés ne parlent à leur retour, y compris par l'aumônerie militaire. Le Général de Bollardière est sanctionné pour avoir rendu public son opposition à la pratique de la torture. Guy Mollet, président du conseil nie devant le Parlement toute pratique honteuse. Quant aux militaires ils sabotent toute tentative de prise de contact avec les représentants algériens. Certains généraux tentent même en 1961 de renverser le pouvoir, pour s'opposer aux négociations d'Evian.

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